Enquête spéciale #7 : Good morning, polar ! Viêtnam et roman noir, une littérature marquée par la guerre / le comité de lecture en Littérature policière - page 7

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Guez, Jérémie
10-18. Grands détectives, n° 4853
03/04/2014
1946. Charles Bareuil, meurtri par la mort de sa femme enceinte et
par son passé de résistant, s'engage pour la guerre d'Indochine en
tant que légionnaire. Cette guerre va prendre une tournure
personnelle lorsqu'il décide d'enquêter sur un mystérieux tireur
d'élite qu'il soupçonne d'être un ancien camarade passé du côté du Viêt-minh.
Avec force et concision, le roman noir de Jérémie Guez évite les clichés sur la guerre
d'Indochine. Delphine Peras-L'Express.
Kauffer, Rémi
Lattès
04/04/2012
En 1944, le réseau Archimède regroupe des résistants en lutte pour
libérer Paris des Allemands. En 1968, leurs enfants ont 20 ans et
défendent à leur tour leurs idéaux pour une France juste et
fraternelle. En marge de ce mouvement, le réseau Archimède se voit
confier une mission secrète : faciliter les négociations entre Américains et Nord-
Viêtnamiens pour mettre fin à la guerre en Indochine.
Thirion, Jan
Nouvelles éditions Krakoen
Forcément noir
05/01/2012
En vérité, Calmar, avec C majuscule, c'est la raison sociale de sa
petite entreprise. Le côté tentaculaire colle bien à ce genre de
métier. Pieuvre fait trop gros et trop négatif. Poulpe ne fait pas
sérieux à cause de la célèbre série de polars. Dans Calmar, il y a calme et la
promesse qu'on va y arriver. Evidemment, par ricochet, on le nomme aussi calmar,
mais sans majuscule, il préfère.
Des jeunes filles asiatiques, violées dans le but de les mettre enceintes, sont
envoyées en France. Un chanteur à succès d'origine viêtnamienne et son ami le
calmar mènent une terrifiante enquête.
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